Le 8 mars, c’est la journée internationale des droits des femmes et non la journée de la femme .

Une journée , donc à travers le monde, d’action de rassemblement, de bilan, de débat, d’information .
Une journée nécessaire mais ce n’est pas suffisant c’est un combat qui doit être mené en permanence et en tous lieux .Faut-il rappeler la triste liste des féminicides qui gangrènent encore la société ?

Officialisée par l’ONU en 1975, la journée internationale des droits des femmes tire son origine de manifestations en Europe et aux Etats-Unis qui ont eu lieu au XXe siècle pour demander le droit de vote et de meilleures conditions de travail.

Aujourd’hui encore, les droits des femmes ne sont pas égaux à ceux des hommes dans beaucoup de pays. Dans notre pays l’égalité des droits est inscrite dans loi, mais elle est régulièrement remise en cause dans certains territoires de notre république comme le libre choix de se vêtir, de choisir son compagnon ou sa compagne, de faire des études.

Dans un domaine bien particulier des progrès notables doivent être accomplis , c’est dans la vie professionnelle que les attentes sont les plus fortes , l’égalité salariale par exemple est loin d’être atteinte que se soit dans le privé ou le public , ainsi que la présence des femmes dans les postes à responsabilités .

Il faudra encore bien des journées et des combats pour arriver à une égalité réelle .

Michel Durbano pour le groupe Unis pour La Garde